Il y avait le ciel, le soleil et la mer. Et jusque-là tout allait bien. Maintenant, il y a aussi le plastique, le pétrole, les pesticides, les métaux lourds, l’ammoniaque des détergents, les phosphates des lessives, les azurants optiques…
En gros, on a fait des océans notre poubelle à ciel ouvert. Et les coupables ne sont pas seulement les rois du pétrole ou les multinationales. On a tous mis notre grain de sel dans la mer. À travers nos eaux usées (150L / jour / habitant), nos fringues en plastique (leurs microfibres synthétiques sont rejetées par nos machines à laver) et nos lessives bien chimiques, on boit un peu plus la tasse chaque jour.
Mais alors, quelles sont les solutions ?
La lessive naturelle, c’est pas du bidon
À ce rythme, la prochaine vague sera peut-être fatale… On peut se faire dorer la pilule incognito sur la plage en faisant semblant de ne pas voir cette pollution invisible ou on peut se jeter à l’eau. Allez, on enfile sa bouée de sauvetage et on plonge dans l’univers des lessives naturelles : moins d’emballage, plus aucun détergents, plus aucun parfum, surtout pas de phosphate issu des adoucissants, encore moins d’huile de palme (on nous en refourgue même dans nos lessives). Bref, avec la lessive faite maison, on peut dormir tranquille.
Vous êtes prêts à franchir le pas et à faire votre lessive vous-même ? Les océans vous disent merci et Murfy vous donne ses meilleures recettes !
Vous n’avez pas le temps ni l’énergie de fabriquer votre propre lessive ? On a aussi une solution ! La lessive la marque en moins est élaborée avec 100% d’ingrédients facilement biodégradables ♻️ En plus elle et est conditionnée dans des cartons 100% recyclables et 100% recyclés !
On en rajoute une couche
Le chiffre qui fout les jetons : plus de 35% des microfibres présentes dans l’océan proviennent de nos machines à laver.
On avait déjà l’image des océans blindés de déchets plastiques en tout genre, désormais on sait aussi que nos fonds marins regorgent de tonnes micro-plastiques invisibles. À chaque fois que vous passez vos fringues en synthétiques (donc en partie en plastique) à la machine, votre machine va cracher des centaines de fibres plastiques dans la nature. Sympa !
Pour éviter le drame, on peut évidemment se débarrasser de ses vêtements en synthétiques (méthode la + radicale) ou s’équiper d’un filtre PlanetCare au niveau de la sortie d’eau. Ce petit accessoire n’a l’air de rien mais il peut faire de grandes choses. Il va jouer le rôle de barrière physique en stoppant 90% des microfibres sur leur chemin.
Autre technique testée et approuvée : le Cora Ball qui va lui aussi jouer le rôle de filtre mais directement dans votre tambour. Pendant que vous faites une machine, il va attraper tous ces minis morceaux de microfibres pour leur éviter un grand plouf dans les égouts (et donc dans la mer).
Sinon, on peut aussi glisser son short de bain préféré dans un sac de protection Guppyfriend spécialement conçu pour retenir les microplastiques avant de le laver. C’est ce qu’ont mis au point deux surfers allemands avec l’espoir de pouvoir continuer à enchaîner les vagues sereinement sans se noyer dans un océan de plastique.
Entre laisser les océans boire la tasse ou changer nos habitudes pour sauver la planète, chez Murfy, on a choisi notre camp depuis longtemps.
